Mindelo 2
La classique photo des barques de pêche
La classique photo des barques de pêche
Dimanche, calme et belle lumière à Mindelo
Départ hier (19 octobre) 16 heures de Sal Rei sur l'ile de Boa Vista.
Le vent de NE à NNE, comme dab, d'abord 25 rafales 28 nœuds, a baissé avec la tombée de la nuit (18 h 30) pour s’établir autour de 20 nœuds. Ce qui m'a permit une bonne vitesse de 7,5 nœuds pour effectuer les 135 milles me séparant de Mindelo. Quelques suventes en arrivant (comme prévu, c'est l'effet venturi entre Sao Vicente et Santo Antao) sur Mindelo où je suis arrivé vers 9 heures 30.
La photo montre la montagne vers le sud de Mindelo, où on peut voir un visage sur le dos avec son nez ...
L'épave d'un cargo échoué (en 1968) sur la plage au nord de l'ile.
Rue d'un village
Quelques vues de l'intérieur de l'ile
Arrivée hier à Sal Rey, le port de Boa Vista;
Mouillage au sud du port (il est réservé pour les cargos) par 3 m d'eau.
Au départ de Palmeira, j'ai fait une petite halte dans la baie de Mordeira, baignade et carénage, le premier depuis Courseulles.. Puis traversée rapide avec du NE 15 / 20 n, soleil mais visi moyenne ~3 M l'air reste chargé en sable fin rouge.
ça ne paye pas de mine, mais à l'intérieur il y a des PC, liaisons internet et cartes téléphoniques.
J’ai quitté Tazacorte, et les Canaries, finalement le mardi matin pour avoir le papier de clearance de sortie (Le bureau de la marina était fermé le week-end et il leur faut 24 heures pour le faire). Cette clearance soi-disant indispensable pour entrer au Cap Vert, ne m’a pas été demandée à l’arrivée.
La traversée m’a pris 6 jours, 2 jours sans vent, 36 heures de moteur et sur l’arrivée j’ai ralenti pour entrer dans le port de jour. Le port de Palmeira sur l’ile de Sal n’est pas très grand, les bateaux sont au mouillage ou sur corps mort. J’ai pris une bouée, 3 euros la nuit, mais c’est plus tranquille que l’ancre car il y a des rafales de temps en temps (et j’ai plongé pour voir ce qu’il y avait au bout de la chaine, un bon gros bloc de béton).
Le village est assez calme, juste un peu d’animation en milieu de matinée, quand les pécheurs vendent leur pêche, car c’est dans la visite guidée des touristes qui font le tour de l’ile …
Utiliser son portable est ici hors de prix, et pour internet c’est du délire : 14€ le Mo. Pour le moment je me débrouille avec une petite boutique qui permet de se connecter et j’essaye de désimlocker mon vieux téléphone pour pouvoir acheter une carte SIM locale et naviguer sur internet à un tarif plus acceptable.
Ça y est, ça marche, d’où ce nouveau blog !
Pour me contacter, utilisez mon adresse mail, vu la note en 2 jours j’ai coupé mon téléphone. Ou alors vous pouvez essayer le +238 937 50 01 mais si ça marche, c’est vous qui payez ! Mais c’est pas sûr que ça marche car j’ai payé pour un abonnement internet seul …
Vue de la ville de Tazacorte vers le port, dont on aperçoit l'impressionnante jetée principale, derrière les plantations de bananiers (c'est la principale culture du coin !)
Arrivée aujourd'hui, 25 septembre, à Puerto Tazacorte sur la cote ouest de La Palma.
Traversée plutôt calme, avec un passage orageux et le vent qui monte à 20 n (au portant) mais juste quelques gouttes. L'orage est resté à quelques milles, mais bien visible au radar. Une petite survente aussi au passage au sud de La Palma, avec une mer plate, et moteur ensuite pour remonter sous le vent de l'ile jusqu'à la marina.
La marina est à quelques centaines de mètres de l'ancien port, et quand on voit la taille des digues de protection et le labyrinthe pour accéder à la marina, je pense que le port est bien protégé mais que des fois ça doit souffler dur en sud ouest ...
Photo de l'ancien port (et du petit village), vue du nouveau. Le principal de la ville est sur les hauteurs.
C'est un gros volcan, le troisième du monde par sa taille et son volume.
Belle balade dans le parc national qui l'entoure, avec normalement des vues plongeantes sur les vallées ou la cote. Mais aujourd'hui c'était nuageux et les vues un peu bouchées. De même le téléphérique pour monter au sommet de fonctionnait pas à cause de la météo.
Le Teide, c'est le sommet dans la brume qu'on aperçoit sur la photo !
Hier visite de La Laguna, vielle ville coloniale.
Un peu décevant, derrière les façades bariolées, on retrouve toutes les enseignes habituelles des galeries marchandes !
Malgré tout quelques vielles demeures, plus ou moins restaurées.
Départ mercredi 20 de Gran Tarafal en descendant vers le sud.
Le passage au sud de Fuerteventura est surprenant, le vent passant de 10 à 25 nœuds pour retomber à zéro ! Avec une mer plate, c'est amusant sauf quand c'est pétole.
Passage en pleine nuit au nord de Gran Canaria et arrivée au petit matin sur Tenerife. C'est pas le bon moment : pleins de cargos attendent qu'il fasse jour pour entrer au port, ou que les bateaux dans le port sortent, plus quelques ferries et un NGV, bref sur l'écran du PC il y avait des traces AIS dans tous les sens. Une heure après plus aucun mouvement quand je suis entré dans le port. Car la marina est au fond d'une des darse du port et il faut contacter les autorités pour avoir le droit de la traverser.
Sinon Santa Cruz est une grande ville, plutôt sympa avec des rues piétonnes.
La photo est à l'arrivée sur Tenerife, le soleil en se levant se reflétait sur les vitres de la ville.
Départ de La Graciosa lundi 18 au matin, cap sur Fuerteventura; Descente le long de Lanzarote, jusqu'au sud de l'ile, le guide prévoit un renforcement des vents en nord / nord est.
Arrivé au sud, le vent tombe et revient en SE, au près. Passé la pointe nord de Fuerteventura le vent reprend un peu de gauche mais reste est.
Descente le long de la cote est de l'ile jusqu'à la Marina de Gran Tarafal, le vent à la bonne idée de tomber 2 milles avant l'arrivée !
La marina est peu fréquentée, plus de la moitié des places visiteur sont libres. La ville est calme, bordée par une plage de sable noir, sans grand monde.